- Stress
- Douleurs chroniques
- Troubles musculo-squelettiques
- Bien-être physique
- Équilibre mental
- Prise de conscience kinesthésique
- Confiance en soi
- Mise à distance
Un changement de mentalités…
En Angleterre, l’université de médecine de Londres inclut une option «technique Alexander» dans son cursus, certaines universités Américaines font de même. Plusieurs médecins vont même jusqu’à faire la formation complète en technique Alexander, soit 1600 heures de cursus. En Suisse, les séances Alexander sont actuellement remboursées par le régime de protection sociale. L’usage* que le patient fait de son corps commence à être pris en compte dans le diagnostic d’une maladie ou d’une douleur. Pourquoi ? Parce qu’il joue un rôle primordial dans le fonctionnement de l’organisme et, donc, sur la santé. Le patient est de plus en plus considéré dans sa globalité car la cause de la maladie ou la douleur est à traiter autant que la maladie ou la douleur elle-même.
Fonctionnement et usage du corps
Chez l’homme, un système antigravité au sein de son système nerveux lui permet de se tenir droit, de se mouvoir. Cette coordination instinctive, que l’on qualifiera de « naturelle » et « parfaite », actionne chez l’humain un fonctionnement corporel et mental optimum.
L’intégrité du squelette est préservée par des muscles profonds qui se chargent de soutenir la colonne, de maintenir l’équilibre et de préserver les organes internes. Quant aux muscles externes, ils assurent la coordination pour tous les actes à accomplir, des plus basiques aux plus complexes : marcher, courir, porter, laver, pianoter, jouer, s’entraîner etc.
Puis le temps passe et la vie, accompagnée de ses gestes répétitifs et du stress de ses événements, vient entraver le réflexe antigravité. Les mauvaises habitudes d’usage* s’installent. Les postures se tordent, les muscles répartissent mal leur travail, les articulations se bloquent et les organes se compriment. Le corps devient alors tendu et le mental aussi. Ce que l’on qualifiera en Alexander de « mauvais » fonctionnement va provoquer raideurs, douleurs, blessures, usures. Par voie de conséquence, ce dysfonctionnement portera atteinte au bien-être général de l’individu, pouvant impacter fortement son état de santé.
La prévention ré-éducative
La technique Alexander® est avant tout une rééducation où le professeur conduit l’élève vers une prise de conscience de l’installation de ses habitudes. Il lui apprend à casser l’entrave au réflexe antigravité, à stopper les gestes et les réflexes nuisibles à un bon fonctionnement. La méthode n’agit pas de façon directe sur la santé, mais les effets sur la santé seront pourtant une conséquence de cette rééducation, ne serait-ce qu’en rôle préventif.
*l’usage : c’est l’utilisation que nous faisons de notre corps (comment je marche, je me tiens debout, je me lève, je porte, je respire, je dors etc….), l’utilisation que nous avons de nous-même, comment nous réagissons face aux stimuli de la vie.
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AU NIVEAU DU SYSTEME MUSCULAIRE ET ARTICULAIRE
la tension musculaire est idéale, tendons et articulations sont relâchés, les muscles économisés. Lire d’avantage
la tension musculaire est idéale, tendons et articulations sont relâchés, les muscles économisés. Le corps fait un minimum d’effort pour un maximum d’efficacité, la posture est belle (visible), la fatigue physique est moindre, les douleurs disparaissent.
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AU NIVEAU ORGANIQUE ET FONCTIONNEL
les organes internes retrouvent leur place, ils ne sont plus comprimés et sont mieux irrigués. Lire d’avantage
les organes internes retrouvent leur place, ils ne sont plus comprimés et sont mieux irrigués. Sans entrave, poumons, intestins, foie, rein, cœur… fonctionnent mieux. Amélioration de la santé à tous les niveaux donc, avec une régénérescence des systèmes digestif, respiratoire et sanguin.
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AU NIVEAU DU PSYCHISME ET DU MENTAL
par un travail à la fois sur les réactions face aux stimuli, sur les habitudes de réponses physiques et mentales et sur l’équilibre corporel, la technique offre une meilleure gestion des pressions, davantage de recul Lire d’avantage
par un travail à la fois sur les réactions face aux stimuli, sur les habitudes de réponses physiques et mentales et sur l’équilibre corporel, la technique offre une meilleure gestion des pressions, davantage de recul et une conscientisation des choses. Concentration, confiance, spontanéité, et calme intérieur sont quelques exemples des effets perçus.
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- sciatiques
- migraines chroniques
- lombalgie chroniques
- maladie de Parkinson
- dépression
- perte d'équilibre
- tendinites
- arthrite et artrose
- asthme
- Cervicalgies chroniques
- maux de dos
- douleurs chroniques
- lésions attribuables au travail répétitif
- gêne respiratoire
- bruxisme
- maladie de Parkinson
De nombreuses études scientifiques ont été réalisées et plusieurs médecins et scientifiques ont approuvés cette technique.
Plus d’informations sur : Le monde de la science en parle , The Complete Guide to the Alexander Technique et The definitive guide to the Alexander Technique